Taux de natalité grandissant au monde: Voici comment l’OMS peut limiter les naissances

Taux de natalité grandissant au monde

Voici comment l’OMS peut limiter les naissances

Dans tous les pays du monde et particulièrement en Afrique, le taux de natalité ne cesse de grimper chaque année. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a cessé de rappeler tous les Etats du monde à l’ordre, au contrôle et à la limitation des naissances.  Mais les efforts jusque-là consentis et les dispositions prises ne donnent pas encore des résultats satisfaisant. Mais comment faire pour y aboutir ? se demande-t-on.

Plus vous avez d’enfants plus vous avez de problèmes. En Afrique et dans les milieux ruraux on nous dira que plus vous avez d’enfants plus vous cultivez de grands espaces de terre. L’enfant qui nait dans une famille paysanne africaine est considéré comme un bras valide de plus pour l’agrandissement de la surface du prochain champ. Pour atteindre cet objectif, épousé plusieurs femmes devient un plan et un projet dans la tête de l’agriculteur traditionnel africain et du monde en général. Dans ces dispositions, les plans de l’OMS pour la limitation des naissances sont très mal accueillis dans ces milieux. Si nous nous limitons aux travaux champêtres dans l’agriculture traditionnelle, aucun problème ne se pose. Lorsqu’il s’agira d’envoyer les enfants à l’école, les moyens deviennent insuffisants. Le parent polygame devient soucieux de la situation. Dans le monde salarial, c’est le salaire qui devient insuffisant à résoudre les problèmes de toute la multitude d’enfants au foyer. Cette lourde charge, pousse bon nombre d’agent permanent de l’Etat à des détournements de deniers publics pour faire face aux difficultés des enfants dont on est père.

Face à ce fléau les gouvernants deviennent impuissants dans la gestion des besoins de la population. Les écoles ouvertes sont insuffisantes à accueillir le nombre d’enfant scolarisable. Les milliards injectés dans le système éducatif chaque année s’accroissent sans qu’on atteigne le bout du tunnel. Les aides à la cantine scolaire sont insuffisantes vue l’effectif pléthorique des enfants scolarisés. Le chômage est là, grandissant. Les jeunes sortis des universités sont sans emploi parce que les entreprises n’arrivent plus à recevoir de main d’œuvre supplémentaire. Chacun s’en prend aux autorités en charge de la gestion du pays. Les chefs d’Etats débordés, appellent les organismes internationaux au secours.  Comment faire pour y remédier, se demande chacun.

Dans certains pays, des assises nationales pour discuter de la limitation des naissances sont à l’ordre du jour. Le manque d’emploi pousse des jeunes à l’immigration clandestine pour atteindre l’eldorado. D’aucuns choisissent la cybercriminalité, les enlèvements, les trafics et ventes d’organes humains, et prêts à bien d’autres crimes pour se satisfaire financièrement. Et tout ceci pour pouvoir se financer un projet de création d’une activité digne qui peut s’exercer en toute tranquillité pour générer des revenus.

Nous entendons d’aucuns dire, sans savoir si c’est affirmative, que tel ou telle a accepté la non procréation contre un pacte de prospérité dans une secte soit-elle. S’il est dit que c’est l’intérêt qui guide le monde, ceci est une vérité dans tous les contextes. Aucun citoyen du monde, africain noir soit-il, ne refuserait un intéressement de l’OMS à la non procréation.

De ce fait, il revient à de droit de s’engager à cultiver chez les citoyens la non procréation contre un financement de projet lucratif à titre individuel pour l’auto-emploi. Ceci intéresserait assez de jeunes filles comme garçon à s’y adonner. Et il reviendrait aux gouvernants de mettre le nécessaire en place pour que cela soit effectif sans qu’il n’y ait d’abus nulle part.

Bref, attendons de voir les propositions qui sortiront des différentes assises nationales.

J.K.S.